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Les portraits Quo Vadis > Samira & Véronique – Couturières
Dans le monde de l’agenda, la fabrication de l’intérieur de nos agendas passe par un certain nombre d’étapes automatisées avec des machines. Mais en ce qui concerne la fabrication des couvertures de nos agendas, elle repose pour beaucoup sur des activités manuelles !
Véronique, couturière, et Samira, référente technique du pôle couture, nous expliquent en quoi consiste le métier de couturière chez Quo Vadis.
Dominante®
11h30
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J’ai eu l’occasion de tester plusieurs postes et j’aime cette idée ! On a toujours la possibilité d’apprendre de nouvelles choses !
Samira - Référente technique pôle couture & Véronique - Couturière
Samira. Quand je dis à mes proches que je travaille chez Quo Vadis, fabricant d’agendas, les gens ne soupçonnent pas qu’il y a du travail de couture dans le monde de l’agenda, mais pourtant, si ! Souvent, lorsque l’on choisit un agenda, on va être attiré par sa matière, sa couleur, ses finitions… Presque comme un accessoire de mode !
Véronique. Nous assurons des finitions très précises sur les couvertures d’agendas qu’aucune machine ne pourrait réaliser. Cela passe par le piquage des couvertures, la pose de pattes ou de passants pour les stylos par exemple. Cela peut aussi être le rassemblement de deux matières sur des couvertures qu’on appelle bi-matière. Sur des produits spécifiques, c’est un peu de l’artisanat car on part d’une matière presque brute et on vient l’habiller avec des poches puis coudre tous les éléments de la matière ensemble. A chaque pièce cousue, on s’assure qu’elle est de qualité, aussi. On a constamment l’œil, cela fait partie intégrante du travail.
Véronique. D’abord, il faut être du métier. On ne s’improvise pas couturière d’une machine comme celle-ci du jour au lendemain ! Il faut pouvoir s’adapter aux différentes matières et finitions demandées. La machine plate industrielle peut déstabiliser, elle n’a rien à voir avec une machine de couture que l’on pourrait avoir chez soi. C’est un travail technique et exigeant. Ensuite, ce sont des qualités qui sont propres aux métiers de la couture en général : il faut de la dextérité, de la précision, être patient et avoir le goût de la qualité.
Samira. Je suis référente technique sur tout le pôle couture. A ce pôle, il y a une petite dizaine de machines. Mon rôle en tant que référente est de connaître le fonctionnement de toutes les machines. J’ai reçu au préalable des formations pour acquérir l’expertise sur le fonctionnement des outils. Aujourd’hui je sais les sélectionner, les monter et les régler. Et bien sûr, assurer une maintenance de premier niveau. En fonction des jours et du travail je peux être à la couture, à l’entretien ou à la révision de l’équipement… J’aime bien cette position dans le sens où j’apprends des choses tous les jours ! J’ai les yeux qui brillent quand je vois tout ce que j’ai encore à apprendre…
Samira. Le fait de travailler dans une entreprise qui défend le fabriqué en France avec des valeurs écologiques. J’aime aussi l’idée que l’on puisse apprendre et cela peu importe son poste. Moi, quand je suis arrivée, j’étais d’abord à la confection de l’intérieur des agendas, puis au pliage des cahiers… J’ai eu l’occasion de tester plusieurs postes et j’aime cette idée ! Ici on a toujours la possibilité d’apprendre de nouvelles choses !
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