Rencontre avec Catherine Testa

Cette semaine, nous vous emmenons à la rencontre de Catherine Testa, l’inspirante fondatrice de l’Optimisme, le média qui vous donne des good vibes.  Car oui, nous sommes fiers de vous dévoiler que nous avons collaboré avec L’Optimisme sur une nouvelle collection qui vous apportera du peps, de la motivation et des mantras pour prendre soin de vous et vous sentir bien pour démarrer cette nouvelle année !

Catherine, qui êtes-vous ? 

Une optimiste 😉 Plus sérieusement, je suis une entrepreneuse engagée en faveur de l’Optimisme. Aujourd’hui, je suis autrice de plusieurs livres sur le sujet et je parcours la France pour donner des conférences sur cette thématique. Mais je reviens de loin : j’ai travaillé une dizaine d’années dans le domaine du développement durable. Quand on navigue dans cet univers, on peut très vite se laisser aller à l’anxiété. Mon objectif est de montrer que l’optimisme est une ressource disponible dont nous avons tous besoin dans nos parcours de vie ! 

Concrètement, c’est quoi L’Optimisme ? 

Il s’agit d’un projet global qui vise à partager de l’optimisme, que ce soit à travers les réseaux sociaux ou sur les sites en ligne www.loptimisme.com et www.loptimisme.pro . En France, nous avons tendance à voir le verre à moitié vide. C’est très culturel. J’ai eu l’occasion de travailler et de vivre dans différents pays dont les Etats-Unis. J’ai pu voir la différence avec notre pays où nous avons la critique facile. Ici, avant même que quelqu’un ne se lance dans un projet, on lui dit que c’est impossible ou que cela sera compliqué… Il n’est vraiment pas facile de conserver son optimisme ! 

Pourquoi avoir créé un média dit positif ?  

Nous vivons dans une société où, il faut l’avouer, tout ne va pas bien. Quand on regarde les informations, on peut très vite sombrer dans une forme de défaitisme. Et c’est logique : les mauvaises nouvelles sont le quotidien des médias. On dit souvent qu’on entend la pomme qui tombe mais pas celle qui pousse, c’est un peu la même chose concernant ceux qui agissent, on ne les voit pas. Il me semblait important de partager de l’espoir ! Il est important de les mettre en avant pour redonner confiance en la société. Sur les sites, on peut trouver des parcours inspirants de personnes, connues ou inconnues qui ont décidé d’agir mais aussi des conseils pour conserver son optimisme au quotidien. 

Est-ce que selon vous, l’optimisme devrait être un mot d’ordre pour nous tous ? 

Oh que oui ! Bien-sûr, il faut éviter de tomber dans l’injonction. On ne va pas dire à quelqu’un qui vit un deuil ou une rupture “sois optimisme!”. Mais l’optimisme est le prérequis à toute action, qu’on se marie alors qu’on connaît le nombre de divorces, qu’on entre sur un terrain de tennis ou qu’on envisage une reconversion. Tout au long de notre vie, nous faisons preuve et avons besoin d’optimisme. Il s’agit d’une ressource qui nous permet d’avancer dans notre parcours. Hélas, en France, une forme d’arrogance laisse à penser qu’être optimiste c’est être un bienheureux naïf ! En l’occurrence, tous ceux qui agissent : les entrepreneurs, ceux qui créent des associations, et tous ceux qui changent quelque chose dans leur vie font preuve d’optimisme ! 

Si nous devions avoir 3 mantras pour cette nouvelle rentrée, lesquels, ce serait ? 

• S’entourer judicieusement : mesurez l’énergie que les autres vous prennent. Après une soirée avec des amis, comment vous sentez-vous ? Rempli.e d’énergie ou vidé.e ? Si vous avez besoin d’énergie pour vous-même et pour mener à bout vos projets, osez vous entourer de personnes qui vous tirent vers le haut !  
• Valorisez les petits bonheurs du quotidien : regarder un bon film, manger un bon repas, appeler un ami, ces micro-détails du quotidien passent à la trappe car notre cerveau retient plus facilement les contrariétés… Chaque soir, re-routez vos pensées et valorisez ces détails du quotidien.
• Osez : autorisez-vous à mener les projets qui vous tiennent à cœur. On a souvent tendance à se comparer, à se sentir trop petit, trop vieux, trop jeune… Il s’agit toujours d’une illusion ! On peut commencer une nouvelle vie à 20, 30, 40, 50 ou 60 ans ! Il faut simplement oser faire un premier pas.

On parle de plus en plus de santé mentale, d’après vous est-ce un sujet “tendance” ou un sujet de fond ? 

La santé mentale fait partie de la santé “tout court”, le sujet a donc toujours existé… Aujourd’hui on en entend de plus en plus parler, notamment vis à vis du burn-out mais le sujet est bien plus vaste. Il faut savoir qu’une personne sur 5 est concernée par un trouble mais jusque-là, le tabou l’emportait. 

Pour ma part, je suis convaincue que nous sommes tous vulnérables et que sortir des clichés de “faiblesse” est urgent : il faut en parler pour éviter que chacun ne reste dans une forme de solitude, voire de détresse.

Pourriez-vous nous donner 3 tips pour prendre soin de sa santé mentale ? 

• Se faire accompagner : le premier point fondamental est de demander de l’aide quand on est en souffrance. Non, aller voir un psy n’est pas une preuve de faiblesse ! J’évoque souvent le fait qu’aux US, aller voir un psy est un marqueur social; tous les dirigeants, sportifs, entrepreneurs d’un certain niveau sont accompagnés ! Il faut le voir comme un coach sportif pour le cerveau ! 
• S’entourer : le lien est au cœur de notre société mais quand on ne se sent pas bien, on peut avoir tendance à se replier. Bien-sûr, la solitude est vertueuse (pour moi la première, j’ai un fort besoin d’être seule) mais rencontrer des personnes qui nous comprennent, avec qui on partage des valeurs, des convictions est fondamental ! Il est important d’avoir dans son entourage des personnes de confiance avec qui on peut “parler vrai”.
• Prendre du temps pour soi : nous vivons dans une société pressée et souvent, nous nous disons que “nous n’avons pas le temps”. Il est primordial d’accorder du temps à ses passions. Qu’on aime écrire, dessiner, courir, peu importe… Cultivons des bulles de joie dans notre quotidien. Ce n’est pas perdre du temps, c’est se ressourcer.

Pourquoi avoir eu envie de créer un agenda et un carnet ? 

Pour aller au-delà du digital. J’ai toujours aimé le papier et je recommande toujours à mes lecteurs d’écrire plutôt que noter dans le téléphone. Un cahier se conserve dans le temps, il s’ouvre et permet un ancrage, de même qu’un agenda. Ils peuvent devenir des soutiens quand on a un coup de mou et nous permettre de retrouver un peu d’enthousiasme dans des journées difficiles.

Découvrez la collection

En quelques mots, dites-nous pourquoi nous devrions tous adopter le prochain agenda L’Optimisme x Quo Vadis ? 

Choisir son agenda pour l’année à venir est un acte fort : il va nous accompagner dans notre quotidien. Opter pour un agenda optimiste, c’est d’ores et déjà donner une couleur à notre année, l’intention est posée ! Cet agenda est spécifiquement adapté à ceux qui veulent mettre de la couleur dans leur vie. Les citations positives chaque semaine permettent de garder ou de gagner confiance en soi et en sa capacité d’action !

Cet agenda est donc le juste équilibre entre le savoir-faire de Quo Vadis et celui de l’Optimisme. Nos deux équipes ont un point commun : la connaissance fine de leur sujet.

Pssst, on a un secret pour vous : Du 9 au 23 octobre, nous vous offrons les frais de port pour l’achat d’un produit issus de la collaboration avec L’Optimisme !! Profitez-en 🙂